Description

Enseignement de la notion de dénombrement en classe de première scientifique : savoir en jeu, difficultés des apprenants et approches de solutions

Par MANGOU Idrissou Koudous

Mémoire de Master

RÉSUME

Le thème de notre travail de fin de formation professionnelle en Master 2 est intitulé « Enseignement de la notion de dénombrement en classe de Première scientifique : Savoir en jeu, difficultés des apprenants et approches de solutions ». Pour atteindre les objectifs fixés, nous avons adopté une méthodologie qui consiste à adresser un questionnaire aux enseignants et un post-test aux apprenants. L’analyse croisée de ces documents nous a permis de déduire qu’il y a effectivement un problème dans l’enseignement et l’apprentissage du dénombrement. En effet, les difficultés observées sont : la mauvaise formulation des consignes par les enseignants peu formés, la non maitrise du principe des choix successifs ou simultanés, ainsi que le principe additif et multiplicatif, la mauvaise traduction du langage courant en langage mathématique, la confusion entre le « et » conjonction et le « ou » disjonction des termes tels que « au plus », « au moins ».

ABSTRACT

The topic of our research work at the end of the professional training in Master 2 is entitled “Teaching the notion of counting in the science class of Première: Knowledge at stake, learners’ difficulties and approaches to solutions”. To achieve the expected goals, we adopted a methodology that allowed us to send a questionnaire to teachers and a post-test to learners. The cross-analysis of these documents revealed that there is indeed a problem in the teaching and learning of counting. Mainly, the difficulties observed are: the poor formulation of instructions by less trained teachers, the lack of mastery of the principle of successive or simultaneous choices, as well as the additive and multiplicative principle, the poor translation of everyday language into mathematical language, the confusion between the « and » conjunction and the « or » disjunction of terms such as « at most », « at least”.